Le 14 avril 2024, cinq mois après que les autorités saoudiennes ont soumis Manahel al Otaibi, 29 ans, à une disparition forcée, cette jeune femme a contacté sa famille pour la première fois et lui a dit qu’elle était détenue à l’isolement à la prison d’al Malaz avec une jambe cassée après avoir été rouée de coups en détention, et qu’elle n’avait pas accès à des soins médicaux.
Arrêtée le 16 (…)