Mauritanie

L’état des droits humains en Mauritanie analysé par Amnesty International

La prolongation est nécessaire pour que la Mauritanie respecte ses engagements régionaux et internationaux en matière de protection des droits humains

Parmi ces personnes, la défenseure des droits humains Mekfoula Mint Brahim

Mohamed Mkhaïtir avait été condamné pour apostasie et détenu pendant plus de cinq ans au cours desquels il n’a vu le soleil que six fois

Mohamed Ould Ghazouani doit protéger les défenseurs des droits humains et mettre fin à l’esclavage

Danger pour la liberté de réunion et d’expression en Mauritanie, Amnesty International demande retenue dans le maintien de l’ordre et accès à Internet

Le prochain président a la possibilité de construire un pays où la dignité et les droits humains soient respectés

Les autorités doivent libérer immédiatement et sans condition les deux célèbres blogueurs détenus depuis deux mois

Tenir un blog n’est pas une infraction et, conformément à la décision de la justice mauritanienne, cet homme doit être libéré

Ces arrestations sont des manœuvres d’intimidation, de harcèlement et de répression contre les voix dissidentes

Le président Mohamed Ould Abdel Aziz doit libérer ces militants détenus pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression

Les autorités mauritaniennes doivent abandonner les charges qui pèsent sur sept activistes et libérer sans condition les cinq actuellement en détention

L’arrestation et la détention arbitraire de ces activistes constituent un rude coup porté à la liberté de manifestation pacifique et d’expression en Mauritanie et une manœuvre d’intimidation visant à réduire les défenseurs des droits humains au silence

La libération de Mohamed Mkhaïtir, emprisonné pendant près de quatre ans pour le simple fait d’avoir exprimé pacifiquement son opinion sur Facebook, est un profond soulagement

Il faut que les autorités libèrent Mohamed Mkhaïtir sans délai et mettent fin aux poursuites grotesques dont il fait l’objet

Une avancée importante l’adoption des lignes directrices de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples sur le maintien de l’ordre lors des réunions

Oumou Kane a été condamnée pour avoir organisé une manifestation pacifique

Libération des trois militants anti-esclavagistes, qui avaient été injustement condamnés à des peines allant jusqu’à 15 ans d’emprisonnement

Ces accusations, forgées de toutes pièces, faisaient suite à une manifestation où ils n’étaient pas présents

Les 13 militants ont été arrêtés arbitrairement en vue d’intimider et de réduire au silence les défenseurs des droits humains et ils encourent une amende et jusqu’à deux ans d’emprisonnement

Amnesty demande aux autorité de révéler le lieu de détention, inculper d’infractions prévues par la loi ou libérer neuf personnes arrêtées et placées en détention entre le 29 juin et le 3 juillet

Les autorités mauritaniennes restreignent fréquemment la liberté d’expression des défenseurs des droits humains et des militants anti-esclavagistes

Si elle est votée, cette loi confirmerait une position liberticides avec aucune référence aux engagements internationaux

Depuis 2006, des milliers de migrants, accusés de tenter de se rendre irrégulièrement aux Îles Canaries (en Espagne) depuis la Mauritanie, ont été (…)